Eglise Saint-Blaise entourée de son cimetière

Les origines de l’église Saint-Blaise remontent probablement à l’époque carolingienne, les monarques de ce temps ne laissant aucune de leur villa sans église. L’édifice remonte au XVème et fut édifié par les moines de Houffalize. On remarquera la «Christotèque», ancienne armoire murale de pierre, du XVème, dans le mur intérieur de la sacristie et un bénitier de grès du XVIIème. Les autels de pierre de l’église primitive furent habillés de boiseries au XVIIIème par les moines du Val des Ecoliers de Houffalize.
(Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche).

Cimetière et dalle Hallet (PCPW)

La dalle Hallet est intégrée dans le mur extérieur de l’église Sainte-Catherine. Y figurent un Christ en croix et un coq. Cet oeuvre de Jean Quirin Piette manifeste un art plus libre, indissociable de la matière dans laquelle il se réalise. Elle s’apparente en cela aux autres productions des artisans-carriers d’Ottré (Viesalm).
Inscrit au patrimoine civil public de Wallonie.

Chapelle Saint-Roch

La Chapelle Saint-Roch fut construite en 1634 lors de la terrible épidémie de peste pour appeler la protection du Saint connu pour sa réputation de thaumaturge.
(Source: Maison du tourisme d’Houffalize – La Roche).

Chapelle Notre-Dame de Forêt

En empruntant le vieux chemin de Houffalize jusqu’à l’orée du bois, se trouve l’un des plus beaux édifices religieux de l’arrondissement, la Chapelle de Forêt.

Elle est située en bordure du vieux chemin reliant Houffalize à Sommerain, à l’orée du bois appelé «Forêt». Elle est le terme d’un pèlerinage. La première mention de cette chapelle est retrouvée dans le testament de Jean Thieskin, daté du 25 mars 1656. Il lègue la somme de 50 florins, si l’on construit une chapelle en l’honneur de Notre Dame au bois de Forêt. Si la chapelle actuelle date de +/- 1750, reconstruite par frère Fule Bechoux (religieux au prieuré de Houffalize et curé de Taverneux) la construction du premier oratoire peut remonter à une époque antérieure à 1656.

L’architecte réussit à lui donner un caractère mosan prononcé par le toit galbé et les bulbes qui ne sont pas sans rappeler la collégiale de Dinant, ou l’hôtel de ville de Visé. Le sanctuaire est couvert d’ardoises formant des dessins et constitue un joyau du XVIIIème siècle unique dans la province. (classé en 1975).

L’autel date de 1766, les lambris furent placés après 1768, les cinq tableaux à une date inconnue, le grillage en fer en 1879.

Une restauration en 1993 lui a rendu sa splendeur d’antan, notamment par un remarquable travail de l’ardoise.

La chapelle de forêt est de plan hexagonal précédée d’un porche occidental et présentant un décrochement oriental tenant lieu d’abside.

A la différence des édifices développés en longueur (plan basilical) celle-ci a un plan centré, les diverses parties s’ordonnant avec des dimensions égales à partir d’un centre. C’est une façon de concevoir l’architecture religieuse qui a d’illustres exemples dans le Saint-Sépulcre de Jérusalem, Ste Sophie de Constantinople, la chapelle carolingienne d’Aix-la-Chapelle et dans le style baroque, N. D. de Montaigu.
(Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche).

Château de Tavigny

Classement :05/04/1972 L’implantation du château de Tavigny remonte au Haut Moyen Age et n’était sans doute qu’une tour refuge qui forme la partie centrale du château. Ses murs de 10 m de côté ont une épaisseur de 2 m et étaient percés de meurtrières. La seigneurie de Tavigny appartint primitivement à une famille qui en […]

Chapelle Jean Nicolas

La chapelle Jean Nicolas aurait été construite en 1680 par deux frères nés à Mont, compagnons de Jean Bart. Ces deux frères, après un naufrage, firent le vœu d’élever une chapelle à la Vierge s’ils échappaient aux dangers de la mer. Sains et saufs, revenus sur la terre ferme, ils s’acquittèrent ainsi de leur promesse. (Source : Maison du tourisme d’Houffalize-La Roche).